Nos grandes histoires d'amour

Publié le par AnarkiA Rock

J'ai eu l'impression un matin de ne plus avoir le choix. Quand la veille, sa main dans la mienne, convulsée de spasmes silencieux, je me suis rappellée que je ne pourrai y échapper, mes larmes formées à l'aube de mes paupières ne changent rien, mes cris dans le noir, les regards affolé de l'animal traqué, que pouvons nous faire face à la fatalité ?

 

L'impasse de nos choix, j'aurai préféré ne jamais veillir, ne jamais me regarder, mes mains trahissent ce que le maquillage ne peut cacher. Combien de jour encore reste il, "profite de la vie", car tu n'auras point d'autres chance...

 

Je suis glacée, je ne sais pas vers quelle voie aller. L'horloge et la société, me pressent, si seulement un peu de magie pouvait m'aider. Je ne souhaite que disparaitre, pouvoir n'avoir jamais commencé. Il serait tellement plus simple de ne pas être enchainée."Tous le monde l'a fait", est ce un crime de rêver à d'autres libertés ?

 

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"Chaque souffle nous rapproche de la mort"

Hazrat Ali

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